• Le Peuple Souverain va mettre en place sa nouvelle Constitution.

    Il est engagé dans ce processus, partant de Cahiers d'Exigence, puis de la collation de ceux-ci en vue d'en dégager les idées les plus nouvelles et remarquable.

    Cette prise de conscience se produit à l'écart des circuits officiels actuels, nécessairement, voire contre eux parce que ceux-ci tenteront de "prendre la main", ce qu'il ne faut surtout pas.

    C'est le Peuple Souverain qui va décider, et quand il aura pris la place qui lui revient de droit, il pourra échanger d'égal à égal avec d'autres Peuples Souverains. C'est une initiative qui lui est interdite actuellement, puisque, rappelons-le, dès à présent quatre-vingts pour cent de ce que discutent les parlementaires français est du texte concocté par les instances de Bruxelles, texte auquel ces parlementaires sont pratiquement tenus de donner leur aval avec juste quelques nuances.

    Notre Constitution actuelle a été affublée de force, par des personnages téléguidés, d'une pustule immonde nommée le Titre XV. C'est le branchement direct sur le cloaque de Bruxelles. Lui-même est manœuvré ouvertement par ce qu'on appelle "les lobbies".



    Qu'est-ce qu'un lobby ? Prenons un exemple. Les professionnels de la terre et de l'alimentaire sont dominés par un "syndicat", plus important que les autres parce que plus riche. Qui en constitue les membres les plus éminents (hum...) ? De très grands propriétaires terriens français, comme la famille royale anglaise (re-hum...), des industriels de la semence, de l'engrais, de l'alimentation du bétail, de la mise en conserve, du pesticide, du fongicide, voire de la manipulation génétique. 

    La FNSEA se regroupe à Bruxelles avec ses amis industriels de multinationales diverses, et ensemble s'adressent à d'énormes cabinets mêlant techniciens, ingénieurs, juristes, publicitaire éventuellement. Ces cabinets proposent leurs "services compétents" à la Commission, au Comité Européen agricole (les ministres concernés des pays européens), et même aux parlementaires. Il arrive même assez souvent que ces cabinets apportent clés en mains les textes de nouvelles directives. Adoptées, celles-ci partent en direction des 28 pays, pour application : tous secteurs confondus, cela représente cent pages par jour en moyenne.

    Les Peuples ne sont donc plus du tout souverains, puisqu'on leur impose des contraintes, souvent contraires à leurs intérêts.

    C'est pourquoi parallèlement à la mise en place d'une Constituante, il va falloir œuvrer d'une façon ou d'une autre pour desserrer ce carcan, ou plus exactement pour l'éliminer parce qu'il ne saurait guère y avoir de demi-mesure. La sortie de l'union européenne, bien qu'elle ne soit pas dans la ligne d'une association pour la constituante, est à étudier AUSSI parce que sans elle notre Peuple ne pourra pas appliquer SES solutions. Des intérêts contraires sauront l'en empêcher.

    Toute autre perspective ne pourrait être que suicidaire.


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  • L'union européenne paraît une aberration, tant la façon implacable de l'imposer à tous au gré « d'avancées » allant toujours dans le sens le plus pervers et le plus douloureux pour la majorité de la population, rend pantois ceux qui assistent au désastre. Tout est effectivement perverti, par le haut : la possession de son propre corps, la banalisation du sexe de chacun, celle d'une précarité organisée pour le plus grand nombre possible, le sens du Peuple uni et souverain, la dé-sacralisation du travail devenu non un acte créateur, mais « une charge ». Les lois s'empilent à tort et à travers, dans l'incohérence souvent. Ceux qui les votent le font l'épée dans les reins, tout en sachant qu'ils ne sont que de simples enregistreurs de décisions prises ailleurs, loin. C'est l'union européenne (ou du moins ce qu'on appelle ainsi) qui rédige tout, en fait, sous la pression d'autres personnages, privés ceux-là. Tous apparaît comme verrouillé.


    Ainsi que nous l'avions souligné le 3 mai au cours d'une réunion du cercle de Nantes de l'Association Pour Une Constituante (APUC), c'est vers 1932 que ce stratagème de l'union européenne a été mis sur pied par les banquiers US, soucieux de se ménager un débouché pour leurs manœuvres. On parle là de Henry Ford, de Prescott Bush, par exemple, et aussi de John Foster Dulles représentant à la fois de la Banque d'Angleterre et de JP Morgan. Rien que du beau monde... Ce sont les usines General Motors de Berlin qui construisaient les camions Blitz si utiles au déplacement rapide des troupes allemandes. A l'époque, en effet, c'est Adolf Hitler qui parut adéquat aux yeux des grands financiers, pour satisfaire ces exigences, c'est pourquoi tous les financements ont coulé à flot, toutes les pressions se sont exercées, entre autres envers le Maréchal Hindenburg, chef de l'État, en coordination avec les grands industriels allemands (Krupp-Tyssen, I G Farben...). Ce soutien ne cessa que vers 1941, quand le chancelier devint incontrôlable.


    C'est alors que d'autres solutions se firent jour exactement dans le même sens, et c'est pourquoi dès 1943 des hommes comme Jean Monnet, Robert Schuman, firent "un stage" aux États-Unis afin de peaufiner leur rôle de Cinquième Colonne de la Finance. Tout démarra dès 1950 et la signature de la CECA (Communauté Européenne Charbon-Acier) le 18 avril 1951. Après de nombreux traités signés le plus souvent sans consultation du peuple, voire en méprisant celle-ci, ce n'est certainement pas fini.


     
     
     
     
     
    Un autre facteur est apparu dès bien avant la guerre : c'est un homme peu connu, et pourtant ravageur dans ses idées. Les idées de Richard Coudenhove-Kalergi , datant des années 1920, ont semé les étapes successives d'une « banalisation » de l'Europe entière. D'ailleurs, depuis le début de l'année 2016 (un siècle plus tard, donc) sautent aux yeux les débuts d'une étape essentielle. Soudain des vagues ininterrompues de « réfugiés », dont on peine à cerner à la fois les provenances, les motivations, les buts géographiques, déferlent sur l'Europe tout entière, comme si une semelle de géant les chassait brutalement. Les financements énormes que cela représente en organisation ne sortent pas de la poche de n'importe qui. Quelqu'un (on devine aux gros sabots leur appartenance subtile) prend beaucoup de mal pour déstabiliser un continent aussi sûrement que si une vraie guerre officielle déferlait sur lui. La pensée de Kalergi avait la délicatesse d'un char lourd, ses successeurs s'appliquent à l'appliquer avec rage et constance.


    C'est pourquoi il est si essentiel pour tous les peuples, et en particulier le nôtre, de reprendre la main sur leur destin. Je ne pense pas, malheureusement, qu'il sera possible d'éviter des affrontements, on dirait même que nos ennemis les peu nombreux, mais extrêmement riches décideurs du monde n'attendent que cela.


    Mais nous le Peuple, nous gagnerons, et nous créerons NOTRE Constitution dont seront bannis tous ces criminels que sont les banquiers. Nous le devons à nos descendants.

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