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L'union européenne, la comprendre pour la combattre
L'union européenne paraît une aberration, tant la façon implacable de l'imposer à tous au gré « d'avancées » allant toujours dans le sens le plus pervers et le plus douloureux pour la majorité de la population, rend pantois ceux qui assistent au désastre. Tout est effectivement perverti, par le haut : la possession de son propre corps, la banalisation du sexe de chacun, celle d'une précarité organisée pour le plus grand nombre possible, le sens du Peuple uni et souverain, la dé-sacralisation du travail devenu non un acte créateur, mais « une charge ». Les lois s'empilent à tort et à travers, dans l'incohérence souvent. Ceux qui les votent le font l'épée dans les reins, tout en sachant qu'ils ne sont que de simples enregistreurs de décisions prises ailleurs, loin. C'est l'union européenne (ou du moins ce qu'on appelle ainsi) qui rédige tout, en fait, sous la pression d'autres personnages, privés ceux-là. Tous apparaît comme verrouillé.
Ainsi que nous l'avions souligné le 3 mai au cours d'une réunion du cercle de Nantes de l'Association Pour Une Constituante (APUC), c'est vers 1932 que ce stratagème de l'union européenne a été mis sur pied par les banquiers US, soucieux de se ménager un débouché pour leurs manœuvres. On parle là de Henry Ford, de Prescott Bush, par exemple, et aussi de John Foster Dulles représentant à la fois de la Banque d'Angleterre et de JP Morgan. Rien que du beau monde... Ce sont les usines General Motors de Berlin qui construisaient les camions Blitz si utiles au déplacement rapide des troupes allemandes. A l'époque, en effet, c'est Adolf Hitler qui parut adéquat aux yeux des grands financiers, pour satisfaire ces exigences, c'est pourquoi tous les financements ont coulé à flot, toutes les pressions se sont exercées, entre autres envers le Maréchal Hindenburg, chef de l'État, en coordination avec les grands industriels allemands (Krupp-Tyssen, I G Farben...). Ce soutien ne cessa que vers 1941, quand le chancelier devint incontrôlable.
C'est alors que d'autres solutions se firent jour exactement dans le même sens, et c'est pourquoi dès 1943 des hommes comme Jean Monnet, Robert Schuman, firent "un stage" aux États-Unis afin de peaufiner leur rôle de Cinquième Colonne de la Finance. Tout démarra dès 1950 et la signature de la CECA (Communauté Européenne Charbon-Acier) le 18 avril 1951. Après de nombreux traités signés le plus souvent sans consultation du peuple, voire en méprisant celle-ci, ce n'est certainement pas fini.Un autre facteur est apparu dès bien avant la guerre : c'est un homme peu connu, et pourtant ravageur dans ses idées. Les idées de Richard Coudenhove-Kalergi , datant des années 1920, ont semé les étapes successives d'une « banalisation » de l'Europe entière. D'ailleurs, depuis le début de l'année 2016 (un siècle plus tard, donc) sautent aux yeux les débuts d'une étape essentielle. Soudain des vagues ininterrompues de « réfugiés », dont on peine à cerner à la fois les provenances, les motivations, les buts géographiques, déferlent sur l'Europe tout entière, comme si une semelle de géant les chassait brutalement. Les financements énormes que cela représente en organisation ne sortent pas de la poche de n'importe qui. Quelqu'un (on devine aux gros sabots leur appartenance subtile) prend beaucoup de mal pour déstabiliser un continent aussi sûrement que si une vraie guerre officielle déferlait sur lui. La pensée de Kalergi avait la délicatesse d'un char lourd, ses successeurs s'appliquent à l'appliquer avec rage et constance.
C'est pourquoi il est si essentiel pour tous les peuples, et en particulier le nôtre, de reprendre la main sur leur destin. Je ne pense pas, malheureusement, qu'il sera possible d'éviter des affrontements, on dirait même que nos ennemis les peu nombreux, mais extrêmement riches décideurs du monde n'attendent que cela.
Mais nous le Peuple, nous gagnerons, et nous créerons NOTRE Constitution dont seront bannis tous ces criminels que sont les banquiers. Nous le devons à nos descendants.
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